[hammett]

Si j'ai bien compris l'offre de dégroupage partiel est majorée si il n'y a pas de préselection ? Et ce n'est pas clair au moment de la prise de commande ?
Si c'est le cas, c'est nul...

Roballar,

Pour faire partager ton expérience de migration et en plus comme ces expériences ne sont pas si nombreuses (malheureusement...) que cela sur CN, que penses-tu de l'ouverture d'un topic spécifique.
Franchement ce serait dommage qu'il soit noyer dans celui-ci, même si c'est un plaisir de le lire ici.
Mais franchement ta migration mérite mieux.
Voili. Après bien sur ce n'est pas une obligation...
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Orange Open
"Le monde se divise en deux catégories : ceux qui ont un pistolet chargé, et ceux qui creusent. Toi, tu creuses !" Blondin/C.Eastwood -
Le Bon, la Brute le Truand - S.Léone 1966
"Par ailleurs, le cinéma est un art" André Malraux

[roballar]

Je ne vois aucun inconvénient à ce que l'on crée un nouveau topic. Mais je tiens à rester chez ClubNews qui est et doit rester un forum ouvert.

Et je profite de ce message pour ajouter que je ne suis pas favorable à la prolifération des forums et que je ne vois pas l'intérêt de bnnews.fr et sfrnews où je ne me suis d'ailleurs pas inscrit.

ClubNews et Grenouille devraient suffire à notre bonheur.


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[hammett]

[roballar]

J'ai récupéré box et décodeur qui étaient arrivés le 14, soit exactement 6 jours après mon changement d'offre.
Je verrai demain si la ligne a été modifiée et s'ils fonctionnent.
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[hammett]

Un long article du quotidien économique Les Echos sur les ambitions d'Orange dans la TV et sur les relations entre l'opérateur et Canal+.
Rien de sensationnel. C'est un résumé de la situation.

http://www.lesechos.fr/journal20081016/lec1_enquete/4784956-orange-met-les-pieds-dans-le-paf.htm

L'article est disponible, je me suis donc autorisé un "copier/coller".

Orange met les pieds dans le PAF
Achat de droits de retransmission du football, accords avec les majors d'Hollywood, lancement de chaînes de télévision... France Télécom - avec sa marque étendard Orange - est entré en force dans l'audiovisuel, proclamant vouloir « inventer la télé de demain ». Et piétine les plates-bandes de Canal+, qui ne cache pas son agacement.

GUILLAUME DE CALIGNONET FRÉDÉRIC SCHAEFFER

Le film « Coluche » est sorti hier au cinéma dans près de 500 salles en France. L'histoire d'un mec qui chamboule le jeu politique en annonçant sa candidature à l'élection présidentielle de 1981 et qu'au début tout le monde trouve très drôle... Doté d'un budget important de 9 millions d'euros, le film d'Antoine de Caunes est coproduit par Studio 37, une filiale de France Télécom. Sans la célèbre salopette et le tee-shirt jaune, mais avec sa cravate orange, Didier Lombard, le PDG de l'opérateur de téléphonie, se verrait bien, lui, chambouler le paysage audiovisuel français. C'est en tout cas son but. Mieux, il espère carrément révolutionner le PAF, puisqu'il proclame vouloir « inventer la télé de demain ».

Achat des droits de retransmission de matchs de football, multiplication des accords avec les majors d'Hollywood, création de chaînes de télévision, lancement d'une offre de télévision par satellite, présence au festival de Cannes, parrainage du Festival du film américain de Deauville à la place de Canal+... En 2008, Orange a mis le paquet sur les contenus, jusqu'ici chasse gardée de la chaîne cryptée.

Pas étonnant, dès lors, que les deux groupes soient devenus les deux meilleurs ennemis du monde. On ne compte plus les déclarations des dirigeants de Canal+ ou de son actionnaire, Vivendi, vilipendant l'arrivée d'Orange. Selon Bertrand Méheut, le patron de Canal+, « ce n'est pas le métier de France Télécom » d'investir dans l'audiovisuel. « Accumuler des droits ne suffit pas. Encore faut-il savoir les mettre en valeur ! », a coutume de dire cet ancien patron de l'activité agrochimique d'Aventis.

Les contenus, « oxygène des réseaux »
Si le bouquet de télévision payante n'a jamais vraiment cru qu'Orange investirait massivement dans les médias, les premières marques d'intérêt de l'opérateur de télécoms pour ce domaine ne datent pourtant pas d'hier. C'est en 2003, avec le lancement de la télévision par ADSL, que France Télécom a commencé à regarder du côté de l'audiovisuel. Projet voulu par Thierry Breton, PDG de l'époque, soutenu par Didier Lombard, alors en charge des technologies et des nouveaux usages, et mis en oeuvre par Patricia Langrand, responsable de la division contenus. Pas à pas, Orange a construit son offre, malgré les difficultés rencontrées dans une maison d'ingénieurs, a priori guère attirés par les paillettes : vidéo à la demande, distribution des bouquets de feu TPS et de Canal Satellite sur l'ADSL... Jusqu'à créer son propre bouquet de chaînes. Le tout en embauchant des gens venus des médias. C'est le cas de Xavier Couture, ancien de TF1 et de Canal+, qui détonne dans l'univers grisâtre des X-Télécoms. « J'apporte à Orange ma connaissance du public et mon côté imaginatif. Je suis là pour fournir des idées, créer des services innovants », explique l'intéressé, nommé directeur des contenus de France Télécom. Quand les compétences ne sont pas disponibles en interne, le groupe sait aussi déléguer. Les contenus de la chaîne Orange Sport sont par exemple fabriqués par Sportever, la société de l'ancien journaliste sportif Patrick Chêne.

Mais pourquoi investir dans des programmes audiovisuels ? La réponse tient d'abord à des considérations technologiques. Le bon vieux fil de cuivre qui servait juste à téléphoner permet désormais de diffuser de la musique, de la vidéo et de l'Internet. Et demain, avec la fibre optique, les tuyaux permettront de faire passer encore plus de contenus. « Orange invente une nouvelle grammaire des contenus et de la télévision. Chaque abonné peut être en relation directe et étroite avec nous », explique Xavier Couture.« Il y a cinq ans, nos clients payaient pour avoir du téléphone, poursuit Raoul Roverato, responsable des nouvelles activités de croissance. Avec l'arrivée des réseaux à haut débit, ils payent pour avoir accès à Internet. Et ils veulent la télévision avec. » Près de 1,5 million de Français regardent déjà la télévision, souvent gratuite, via leur abonnement avec Orange.

Ensuite, bien sûr, il y a un calcul économique. Orange ne veut pas être réduit au rôle de simple poseur de tuyaux, investir en permanence sans dégager de revenus supplémentaires. « Les contenus sont l'oxygène de mes réseaux », lâche Didier Lombard, en avril dernier, lors du MIP TV, le congrès où tous les acheteurs de programmes du monde se retrouvent. Le PDG de France Télécom y fait sensation : il profite de ce grand rendez-vous pour annoncer la création de son bouquet de 5 chaînes axées sur le cinéma et les séries, suite à des accords avec les studios hollywoodiens Warner et MGM ainsi qu'avec la chaîne américaine HBO. Après le foot, en février, le cinéma... Nouveau coup dur pour Canal+. En proposant en exclusivité des films, des séries et l'affiche du samedi soir du championnat de France de football, Orange espère bien fidéliser ses abonnés, et même en attirer de nouveaux.

Les Anciens et les Modernes
« Les contenus sont un élément différenciant ayant pour objectif de protéger la facture moyenne, voire de l'augmenter légèrement au cours des années à venir », explique Antoine Pradayrol, analyste financier chez Exane-BNP Paribas. Raoul Roverato rajoute même un argument purement boursier : « Les secteurs qui affichent les plus belles perspectives de croissance sont les contenus et la publicité en ligne. C'est sur cette base que les marchés financiers nous valorisent. Au moment où les géants de l'Internet comme Google et Yahoo ! montrent de l'intérêt pour les télécoms, l'élargissement de notre palette est un élément primordial pour que France Télécom garde son rang parmi les grands.»

Un point de vue certainement partagé par tous les opérateurs de télécoms d'envergure. Mais tous ne se sont pas lancés pour autant dans l'acquisition de contenus en propre. «Si on avait trouvé un partenaire capable de nous offrir ce dont on avait envie, on ne serait jamais allé acheter des droits », estime Raoul Roverato. Pas très compliqué d'identifier qui aurait pu être ce «partenaire» : Canal+, bien sûr. Car France Télécom ne voulait pas être réduit au simple rôle de distributeur du bouquet de Canal en raison de la faible marge générée par ce type d'activité. L'opérateur a donc cherché à créer son propre bouquet en faisant son marché parmi les chaînes du groupe audiovisuel. Ce que celui-ci a refusé. « Nos relations avec Canal+ ont commencé à se dégrader fin 2007, lorsque nous avons lancé notre propre chaîne d'information sportive », poursuit Raoul Roverato. Xavier Couture ne dit pas autre chose : «Canal+ a voulu garder son monopole sur la télévision payante. Orange a créé sa propre chaîne de sport après son refus de lui céder Infosport ». En clair, les dirigeants d'Orange accusent l'inertie de Canal+ d'être à l'origine de leur offensive dans les contenus... «Mais, au-delà de ces querelles, la logique voudrait que nous soyons partenaires», ajoute le dirigeant, bien optimiste.

Derrière ces propos, France Télécom rejoue la querelle des Anciens et des Modernes. La nouveauté d'Orange tient en un mot, répété en boucle par les dirigeants : l'interactivité. C'est « la TV quand je veux où je veux ». Sur le téléviseur, sur le PC ou le mobile. Si le client aime le foot, il s'abonne à Orange Foot. S'il aime le cinéma, il a accès aux cinq chaînes « ciné séries ». « On se distingue de Canal+ par l'interactivité et parce que nous avons trois écrans complémentaires : TV, PC, mobile », explique Xavier Couture.

Une équation économique complexe
Reste à savoir si France Télécom peut réellement s'imposer dans l'audiovisuel et rentabiliser les 203 millions d'euros par an investis dans le foot... Economiquement, l'équation apparaît difficile à résoudre. A 6 euros par mois pour avoir le match du samedi soir, prix auquel il faut ajouter l'abonnement « Internet triple play », c'est-à-dire près de 42 euros par mois, l'addition est salée... Elle fait d'ailleurs grincer les dents de nombreux supporters de foot. Sauf que l'abonnement à Canal+ coûte, lui, 30 euros par mois, sans Internet ni téléphone illimité. « Il y a une opportunité en France pour faire des petits bouts de ce que fait Canal+. Un consommateur peut préférer débourser 6 euros pour une chaîne qui l'intéresse plutôt que 30 euros pour un bouquet avec des tas de programmes qu'il ne regardera jamais », estime Antoine Pradayrol.

C'est là-dessus que mise France Télécom. Le lancement d'Orange Cinéma Séries est là pour le prouver : cinq chaînes axées sur le cinéma pour 12 euros par mois donnant accès à plus de 75 exclusivités par an, des films que l'on peut regarder à la télévision, sur son PC ou sur son mobile, à la demande. Le téléspectateur ne se laisse plus imposer une grille de programmes, mais visionne les films quand il veut. Orange estime qu'il existe ainsi un espace économique entre Canal+ et un bouquet moins cher.

Pétition des supporters de foot
Mais son entrée en force dans l'audiovisuel n'est pas du goût de tous. Et surtout pas de celui de Canal+, qui dénonce les conditions dans lesquelles arrive ce mastodonte des télécoms. « Pour Orange, les contenus culturels sont juste un prétexte pour vendre son réseau », estime-t-on au sein de la chaîne cryptée. Bertrand Méheut se plaît à développer deux arguments : d'abord, France Télécom détient une position dominante dans la téléphonie fixe et utilise cette « rente » pour entrer sur le marché des contenus. Ensuite, c'est le principe d'enfermement qui est montré du doigt. Il faut d'abord s'abonner au téléphone et à l'Internet de France Télécom avant de pouvoir accéder aux programmes d'Orange, alors que Canal+ est disponible sur toutes les plates-formes et chez tous les fournisseurs d'accès à Internet.

Cette exclusivité des contenus est également regardée de très près par le gendarme des télécoms (l'Arcep). Pour lui, s'il s'agit de concurrencer Canal+, pas de problème. Mais s'il s'agit d'évincer Free et Numéricable du marché de l'Internet haut débit, alors là, il fait savoir qu'il ne restera pas les bras croisés.


La fin de l'article concerne la réaction du "milieu" du foot est à lire sur le site....
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[hammett]

Nouvelles du monde
Quelques nouvelles du Monde…Enfin des filiales d’Orange...
L’opérateur poursuit la mise en place de sa marque unique dans le groupe, engagé depuis 2005
par le programme Next (Nouvelle Expérience des Télécommunications). Depuis le mois de septembre ce ne sont pas moins de 4 filiales qui sont passés sous cette marque.

Deux pays africains : le Niger et le Kenya. 1 pays d’Europe Orientale : l’Arménie et un pays de le Communauté Européenne : l’Autriche.
En France, c’est déjà le site internet de France Telecom qui est passé sous cette marque. On peut penser qu’un de ces jours le sigle FT soit remplacé par celui d’Orange.
La fin d’une époque…

Petite parenthèse en ce qui concerne les pays d’Afrique. Pour faire bonne figure ou "éthique", Orange fait aussi dans le social. Ainsi, une convention de partenariat a été signée pour soutenir le projet "filles à l’école", qui contribuera à la scolarisation de 1500 élèves dont 50% de filles dans 15 écoles et trois communes rurales.

Petite revue de détails sur les enjeux des pays concernés à travers quelques chiffres.

Niger
http://www.lesafriques.com/afrique/deja-150-000-abonnes-pour-orange-niger.html?Itemid=197?articleid=9821
Au Niger (13 millions d’habitants) trois mois après son lancement sous sa nouvelle marque et avec des offres agressives, le parc d’abonnés atteignait 150 000 abonnés à fin août.
L’objectif est d’atteindre 700 000 clients en 2009 et 2 millions à l’horizon 2013.
Fort de ce premier succès, l’entreprise et ses partenaires locaux, envisage d’élargir ses services à une trentaine d’autres agglomérations. Le réseau de sept agences se limite actuellement à la capitale Niamey et quelques autres villes. La filiale de France Telecom intervient comme opérateur global, proposant des services de téléphonie fixe, de téléphonie mobile et d’accès à Internet via le réseau Wimax.

Kenya
http://bourse.lerevenu.com/newsdepeches.hts?urlAction=newsdepeches.hts&idnews=FPS080917_20300013&numligne=0&date=080917&source=FPS
http://www.orange.com/fr_FR/presse/communiques/cp080917fr.html
Au Kenya (34 millions d’habitants), la marque est devenue la marque commerciale de Telkom Kenya, l'opérateur historique du Kenya dont France Télécom a acquis 51% du capital en
décembre 2007, pour 390 millions USD et devient par la même le premier opérateur intégré du pays, proposant des offres de téléphonie fixe, mobile et internet. 58 Millions d'Euros ont été investis dans les infrastructures de réseau depuis le début de l'année 2008. Là aussi les objectifs sont ambitieux. Car il est de passer de 500 000 clients aujourd’hui à 1,5 millions de clients dans un an.
Le marché de la téléphonie mobile kényane est jusque présent contrôlé par Safaricom (Vodafone) et Zain (ex Celtel).

Arménie
http://www.silicon.fr/fr/news/2008/10/08/orange_s_installe_en_armenie
http://www.armenews.com/article.php3?id_article=45379
http://www.orange.com/fr_FR/presse/communiques/cp081007fr.html
En Arménie (3 millions d’habitants). Orange vient d’acheter la 3e licence mobile GSM et 3G pour un coût de 51.5 millions d’euros, bien au-dessus du prix demandé
minimal du gouvernement de 10 millions d’euros. Les deux autres offrants, le Suédois Tele2 d’AB et le PDG de groupe britannique-irlandais Blackrock, ont respectivement proposé 45.6 millions et 31.7 millions d’euros.
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[nnouveau]

Orange s'exporte et investit pas mal !!

vont ils s'imposer franchement ?
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Chez CI depuis 1999..

Migré automatiquement depuis le 19 Juin 2009.

Un souci suite à la migration automatique.. lisez donc les 3 SOLUTIONS APRES MIGRATION AUTOMATIQUE, cliquez
ICI

[hammett]

[nnouveau]

[hammett]

[hammett]

La saga du foot sur Orange, la suite !!!
Pour faire un peu de promo à sa chaîne foot et répondre aux vives remarques des présidents des clubs sur le manque de visibilité de ces matchs, Orange diffuse en clair pour ses abonnés le match de championnat Lyon / Lille de ce soir.
L’émission de présentation (assez punchy…) qui précède la rencontre sera désormais diffusée en clair…
Elle est pas belle la vie ?
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[Dumboton]

11 jours pour équiper votre livebox

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CI c'était des hommes, un service et de la qualité

[hammett]

Interessant, mais, il ne manque plus que la Livebox dans cette boutique.
Vraiment dommage ce parcours du combattant pour acheter un Livebox hors boutique.
Un petit effort en ce sens serait le bienvenu...
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[desmond]

hammett> 1/Où peut-on acheter une MiniLivebox ?
2/Avec le SIP qui rempace le H323, ils vont sortir de novueaux LivePhone ?

Je récapitule ma migration de Ci vers Orange, maintenant que je ne crains plus rien de leur part, je me lâche.

Eh oui, 10 ans chez Ci, et la petite carte du club le plus ouvert de la planète..... autre époque que celle de la bulle des technos.

J'étais en Ci1, dégroupage partiel ,avec abonnement fixe FT.

-Souscription pour Orange ADSL + Tél le 22/08 par web.
Pas d'email de confirmation reçu.
-Appel à la hotline Orange le 25/08 pour explication. Le navigateur a planté au moment de la finalisation de l'inscription qui n'etait pas totalement activée, mais on m'a dit que la MiniLivebox et les données de connexion étaient déjà dans les tuyaux et m'arriveraient sous peu.
-Réception des codes d'accès ADSL et mails le 26/08
-Orange prend possession de ma ligne ADSL le 27/08, et j'ai utilisé un vieux modem USB ECI pour l'ADSL à cette période. Je découvre qu'une formule ADSL + Tél doit m'etre livrée le 13/09 sur l'espace client Orange. Je pense aussitot à l'arrivée de ma chère MiniLivebox le 13/09.
-28/08: arrivée du LivePhone commandé par le web en meme temps que la souscription à Orange ADSL.
-Résiliation CI demandée le 30/08 par téléphone, fallait s'accrocher, j'ai dit que je passais au cable. On m'a dit que ce n'etait pas aussi fiable, que de nouvelles offres encore plus performantes arrivaient que blabla... j'ai insisté.
-Mail reçu de Ci le 31/08 pour confirmer la résiliation.
-Lettre de résiliation et CiBox que j'ai envoyées en A/R le 01/09.
-A/R de lettre de résiliation reçu le 06/09.
-SMS reçu de CI pour réception CIBox le 08/09.
-12/09 facture mensuelle CI éditée à la date prévue (facturation 30 jours depuis 2001), et mise en débit sur mon compte bancaire.
-13/09, toujours pas de Mini LiveBox. J'appelle le 15/09, on me dit qu'ils l'ont envoyé, mais voient bien que je ne l'ai pas activée... Ils redemandent un envoi que j'aurai sous 8 jours maxi.
-25/09: toujours pas de Mini LiveBox, J'appelle Orange qui me dit que l'envoi n'a jamais été effectué parce que j'utilisais mon accès... Elle redemande l'envoi d'une mini LiveBox.
-04/10: La Mini LiveBox arrive
-05/10: Activation de la TOIP pour Livephone.
-12/10: Mon accès et mon mail Ci (meme par pop) sont inacessibles à 0h00 de la date prévue.
-13/10 : Ci m'envoit une lettre signifiant la bonne prise en compte de la résiliation.
-18/10: l'A/R de la CiBox me revient... 47 jours après... et le meme jour une facture de location de la CiBox courant jusqu'à la semaine derniere.

Au final 3.50 € de facturés en trop par CI pour location de CiBox. Et un mois d'abonnement de plus que prévu par la loi Chatel (10 jours de préavis je crois), mais je m'en doutais, en demandant la résiliation 13 jours avant la date de facturation.

Et 4€ de facturés par Orange pour la location d'une Livebox depuis le jour de souscription... quand je ne l'ai reçu que 43 jours plus tard.

J'ai précisé tout ça par souci d'exhaustivité, si ça peut aider qqn.
A part pour le retard de livraison de Livebox, je ne me plains pas, j'ai été assez chanceux, et surtout, j'ai pas eu un seul jour d'interruption ADSL.

[hammett]