[hammett]

C'est pas bon, c'est pas bon... Au delà des départs (les personnes concernées devraient pouvoir s'en remettre) , ce sont les déclarations qui fuitent...

Courage Experclub.

Un article du quotidien Les Echos de ce jour.
http://www.lesechos.fr/info/hightec/300301390-departs-en-cascade-de-dirigeants-de-sfr-neuf-cegetel.htm


Départs en cascade de dirigeants de SFR Neuf Cegetel
Michel Paulin, ex-numéro deux de Neuf Cegetel et responsable des réseaux et de l'innovation chez SFR, part. Le DRH de SFR devrait lui, rejoindre Vivendi début 2009.

Nouveaux départs à la direction du nouveau SFR, fusionné avec Neuf Cegetel. Michel Paulin, ancien numéro deux de Neuf Cegetel et actuellement en charge des réseaux et de l'innovation au sein de la nouvelle entreprise, quitte le groupe. C'était encore l'un des seuls cadres dirigeants de l'opérateur de téléphonie fixe à occuper un poste à responsabilité dans le nouvel organigramme.

"C'est une greffe qui n'a pas pris", explique un cadre du groupe. " SFR a essayé de le retenir car Michel Paulin avait été identifié comme un élément de cohésion pour mener à bien cette fusion ", poursuit cette source qui parle de "vrai couac ". En fait, il semble que l'organisation plutôt lourde de SFR, comparée à la réactivité de Neuf Cegetel, ait aussi pesé dans la décision du dirigeant de partir.

Il y a quelques jours, c'est un autre hiérarque de Neuf Cegetel, Philippe de Cuverville, ex-secrétaire général de l'opérateur télécom fixe, qui a démissionné. Les barons de SFR ont donc en tout cas clairement pris le pouvoir.

Il faut dire que SFR, l'acquéreur, est plus gros que Neuf Cegetel. L'opérateur mobile réalise un chiffre d'affaires annuel de 9 milliards d'euros environ contre 3,2 milliards pour Neuf Cegetel. Autre explication, la rentabilité de Neuf Cegetel aurait été surestimée lors de la vente par les dirigeants de l'opérateur.

Ainsi, alors que l'ancien PDG Jacques Veyrat tablait sur un excédent brut d'exploitation en 2008 de 900 millions d'euros, les analystes financiers s'attendent désormais à ce que le chiffre soit plus proche de 700 millions d'euros. Vivendi explique cette différence par l'élimination du chiffre d'affaires entre SFR et Neuf Cegetel. En effet, SFR était le plus gros client opérateur de Neuf. Ensuite, des provisions n'auraient pas été passées l'an dernier, notamment en ce qui concerne les obligations liées à la loi Chatel.

La fin de la surtaxe des hot lines aurait ainsi coûté à 20 millions d'euros sur le premier semestre. Comme l'écrivent les analystes de Royal Bank of Scotland, "les dirigeants de SFR sont plus réalistes dans leur budget par rapport aux hypothèses agressives des patrons de Neuf Cegetel ". Enfin, dernière explication avancée par les analystes de la banque britannique, "le ralentissement de la croissance de Neuf Cegetel, passée de 6 % au premier trimestre à 4,2 % au deuxième trimestre" pèse sur la rentabilité.

L'autre départ prévu est aussi emblématique au moment où SFR Neuf Cegetel procède à un plan de départs volontaires de 450 employés. Selon nos informations, Stéphane Roussel, le directeur des ressources humaines va partir début chez Vivendi, l'actionnaire à 56% de SFR. Dans le groupe de télécom et média, il devrait occuper la même position que chez SFR et devrait remplacer René Pénisson chez Vivendi. Chez SFR, il sera remplacé par Marie-Christine Théron, actuellement son adjointe chez l'opérateur mobile.
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Orange Open
"Le monde se divise en deux catégories : ceux qui ont un pistolet chargé, et ceux qui creusent. Toi, tu creuses !" Blondin/C.Eastwood -
Le Bon, la Brute le Truand - S.Léone 1966
"Par ailleurs, le cinéma est un art" André Malraux

[roballar]

[ABXM]

roballar a ecrit:
Et j'ajouterai qu'il n'y a que les cimetières qui sont remplis de gens irremplaçables...
+1
vu le nombre de directeur j'espere qu'il y a du monde pour travailler
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plus de 10 ans de ci free dpuis le 17/11/08.satisfait

[nnouveau]

je ne plains jamais les grands patrons.. ils ont toujours une entrée quelque part, ce qui n'est pas le cas de tout le monde..


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Chez CI depuis 1999..

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[mattmatt73]

Mais ce qui est étonnant c'est la fuite (l'éjection) des dirigeants de 9...
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[hammett]

Un article de Challenges très interessant.
http://www.challenges.fr/magazine/strategie/0142-017183/sfrneuf_sinitie_difficilement_a_la_convergence.html

SFR-Neuf s'initie difficilement à la convergence
Fusionné à son ex-filiale, Neuf, un fournisseur d'accès à Internet, le géant du mobile SFR se rêve en roi du triple play. Mais sa prudence lui a fait prendre du retard sur la concurrence.

Ce 10 octobre au matin, une vingtaine de cadres dirigeants de SFR sont assis sur les tables en arc de cercle de la salle Prestige. C'est ici, à la Défense, au trente-deuxième étage de la tour Séquoia, siège du groupe, que se réunit un vendredi sur deux le comité d'intégration de l'opérateur. Il traite toutes les questions nées de la fusion du géant du mobile avec Neuf, son ex-filiale spécialisée dans l'ADSL, absorbée totalement depuis la fin septembre. La future stratégie du nouvel ensemble se définit dans cette salle : SFR se rêve désormais en opérateur «convergent», un champion du triple play regroupant le fixe, le mobile et l'Internet. Le seul à pouvoir réellement concurrencer Orange. Ce matin, Jean-Christophe Israël, un ex-Neuf, présente les dernières évolutions du portail Web grand public, et répond aux questions du top management sous le regard du PDG, l'Allemand Frank Esser.
Un autre auditeur semble beaucoup moins passionné par les débats. Michel Paulin, ancien directeur général de Neuf, pianote sur son téléphone portable et quitte régulièrement la pièce pour passer des appels. Il n'a même pas pris la peine de sortir une feuille ou un ordinateur portable. Et s'est assis très loin de Frank Esser. Tout près de la sortie...
Sans surprise, quelques jours plus tard, le groupe de télécommunications annonce son départ. La machine SFR est trop lourde. C'est le message officiel. «Il préfère travailler dans une structure plus petite», explique Frank Esser, qui insiste sur le fait que «sa succession a été travaillée avec lui».
«Ce n'est pas une nouvelle très positive, juge Antoine Pradayrol, analyste à Exane BNP Paribas. Michel Paulin connaît bien le fixe, et c'est lui qui a été le maître de l'intégration de tous les business au sein de Neuf.» L'ancien numéro deux de Neuf s'était en effet taillé une réputation de manager très énergique au côté de Jacques Veyrat, alors président de Neuf. Tous deux ont intégré à marche forcée quantité de jeunes pousses de la téléphonie fixe.

Choc culturel
Ce départ emblématique revêt aussi, pour certains, une dimension stratégique. Michel Paulin aurait prôné un investissement massif dans la fibre optique, clé des réseaux de l'avenir à très haut débit. La marque au carré rouge a préféré la prudence. Au final, la quasi-totalité de l'ex-directoire de Neuf aura quitté le nouveau paquebot. A commencer par Jacques Veyrat, parti rejoindre son ancien actionnaire, Louis Dreyfus. Mais SFR soigne les apparences. Deux ex-neuf, Pierre-Alain Allemand et Eric Looss, vont donc faire leur entrée au comité exécutif de SFR suite au départ de Michel Paulin.
Et dans les équipes ? «Pas de chasse aux sorcières», jure Richard Lalande , fondateur et directeur général adjoint de SFR. Concrètement, un immense déménagement se prépare : 6 000 personnes vont faire leurs cartons pour se rapprocher de leurs alter ego. Et l'osmose n'est pas évidente entre un géant du mobile et une presque start-up de l'ADSL. «Il y a une certaine barrière culturelle», confirme Xavier Courtillat, délégué syndical central CFDT. «A Neuf, ce sont des cow-boys à côté de la grosse machine SFR, s'exclame un jeune du marketing. Leur arrivée nous fait du bien.» Les ex-Neuf sont, eux, dans l'expectative. «Beaucoup ont l'impression de tomber sous la coupe de SFR et de ne pas être reconnus, rapporte un représentant du personnel venant de Neuf. Et le départ de Michel Paulin, figure tutélaire de Neuf Cegetel, n'arrange rien.» Malgré tout, les contacts entre les deux sociétés étaient déjà nombreux avant la fusion. Certains employés font même leur retour dans une maison quittée il y a quelques années.
La violence du choc culturel se trouve paradoxalement atténuée par les différences entre les deux activités, et donc de nombreuses complémentarités des équipes. Le patron du marketing, Jean-Marc Tassetto, a choisi de garder, d'un côté, l'équipe chargée du mobile et, de l'autre, les spécialistes du fixe. Constat similaire du côté des commerciaux. Les ex-Neuf sont des pros de la vente en direct via Internet. «J'ai donc mis le directeur commercial des ventes directes de Neuf à la tête de cette activité pour SFR-Neuf», explique Frank Cadoret, directeur général commerce et service client. Les commerciaux de SFR gardent, eux, les manettes sur la gestion des différents réseaux de distribution. Le plan social en cours ne devrait donc pas tourner au bain de sang. Les 784 départs volontaires - en partie compensés par la création de 334 postes - toucheront surtout les salariés des plates-formes techniques, qui sont regroupées entre Paris et Lyon.

«Octobre rouge»
Signe visible du rachat, la double identité a été abandonnée. Seule subsiste la marque, jugée bien plus puissante, de SFR. «Une des premières décisions du comité d'intégration, dès avril, a été de trancher sur le choix de la marque», raconte Frank Esser. Le carré rouge du logo subsiste, mais il a été relooké. Sitôt l'intégration rendue officielle, début octobre, une grosse campagne d'affichage a été lancée. «L'une des plus puissantes de l'histoire de SFR, selon Jean-Marc Tassetto. Et la plus importante pour Neuf.» Non pas pour promouvoir le nouveau groupe , mais pour vendre sa première réalisation concrète : «La Neufbox de SFR.» La SFRbox a donc été mise au rencard, et la Neufbox a changé de capot. SFR sera «une mégamarque avec plusieurs marques produits», détaille Jean-Marc Tassetto. Face au leader Orange, sa Livebox et ses forfaits Origami, son challenger se dote de sa Neufbox, à côté de ses Illymitics.
Baptisée «Octobre rouge» par les équipes, l'opération de promotion concentre son message autour de la qualité du service apportée à la box de Neuf. Une manière de se distinguer, pour le même prix, d'un Free. «Le prix easyJet avec le service Air France», résume Frank Cadoret. C'est ce sur quoi insiste la lettre envoyée à tous les clients de Neuf le 6 octobre : ils bénéficieront du Pacte SFR. Ces abonnés peuvent désormais s'adresser, si besoin, aux vendeurs des 800 magasins SFR, plutôt que d'appeler une hot line. Et ils se verront prêter une clé 3G+ en cas de gros pépin.
Voilà ce qu'ont révélé en grande pompe, le 29 septembre, Frank Esser , Jean-Marc Tassetto et Frank Cadoret. Une grande conférence de presse avait été organisée pour annoncer la «naissance du premier opérateur alternatif en Europe». Incrédulité dans la salle. Où est le grand plan stratégique ? Une interrogation nourrie par l'absence de cadres de Neuf sur l'estrade. Un super service, est-ce tout ce qu'a à proposer le deuxième groupe français de télécoms face à l'opérateur historique Orange ? Celui-ci s'apprêtait à annoncer, le 8 octobre, la naissance des chaînes Orange cinéma séries, venues rejoindre Orange foot. Même le challenger Bouygues Telecom s'est démarqué en présentant, le 15 septembre, une offre Internet avec cette spécificité : un forfait incluant les appels vers les portables (lire encadré ci-contre). «Un loupé», admet-on en interne.

Flottement stratégique
«SFR joue la prudence, juge Emeka Obiodu, analyste senior à Ovum. Dans les douze prochains mois, le groupe devrait réaliser tout le potentiel de l'opération.» L'objectif à long terme est déjà connu, affirme Richard Lalande. C'est Ma Sphère, une plate-forme sur laquelle SFR a encore peu communiqué, qui permet de stocker ses données - adresses, messages ou documents -, et de les consulter aussi bien via Internet que via le téléphone mobile ou fixe. «La convergence, cela demande des développements technologiques importants afin que, quand vous arrivez chez vous, votre box vous reconnaisse et fasse passer votre mobile sur le réseau fixe. Cela ne demandera pas six mois mais au moins cinq ans», explique Lalande «La convergence ? C'est un théorème, un concept flou», raille-t-on à Iliad-Free. Un malaise ressenti par les salariés de SRF. «Nous ressentons un certain flottement depuis six mois», se plaint un cadre. Une chose est sûre : pas question d'investir dans les contenus pour suivre Orange. L'idée d'un rapprochement orchestré par Vivendi, actionnaire à 56% de l'opérateur et qui possède aussi Canal + et Vivendi Universal, est évacuée. Impossible, selon le PDG de SFR, de se priver, par exemple, de Warner et de Madonna. «Je ne crois pas aux stratégies d'enfermement, confirme Bertrand Meheut, le PDG de la chaîne cryptée. Nous voulons toucher tous les Français par tous les moyens de communication.»
Sur ce point, le concurrent Bouygues Telecom est d'accord. Une intégration plus poussée avec TF 1 et LCI ? Impensable. «Pour Canal +, nous sommes un distributeur potentiel» dont il s'agit de ne pas se couper, affirme Franck Abihssira, directeur FAI de la filiale du géant du BTP.
Et le spectre de Jean-Marie Messier plane toujours... «Nous connaissons les risques, confirme Frank Esser, en se rappelant l'ère J6M. Nous sommes prudents, nous regardons les besoins de nos clients.» Et selon lui, ce n'est pas d'avoir du football en exclusivité. Le patron allemand avait longtemps utilisé cet argument pour repousser l'achat de Neuf. «Il nous répétait que le rapprochement fixe-mobile était un faux problème, qu'il n'avait pas une demande forte de la part des clients», se souvient Xavier Courtillat, le représentant CFDT. Son autre actionnaire, le britannique Vodafone, n'a pas non plus caché ses réticences à rapprocher les deux mondes. Jusqu'à présent. «Qu'il assume maintenant, s'amuse un haut dirigeant d'Orange. Et qu'il découvre le monde d'Internet.» Orange est en tout cas bien décidé à profiter de l'arrivée d'un nouvel opérateur intégré. Il compte ainsi demander l'autorisation de créer des passerelles entre ses clients fixe et mobile. De son côté, SFR va lancer une bataille juridique contre l'opérateur historique, dont il exige la possibilité de diffuser ses chaînes de foot ou de cinéma. Il y voit là une tentative pour rétablir le monopole d'antan. La guerre ne fait que commencer.

La guerre des box aura bien lieu

En trois ans, le marché de la fourniture d'accès à Internet s'est énormément concentré, passant d'une dizaine à trois gros acteurs, Orange, SFR-Neuf et Iliad-Free. Mais d'autres viennent encore bousculer ce trio de tête. Et d'abord Bouygues Telecom, qui a lancé sa Bbox le 20 octobre. L'offre s'appuie sur l'ex-réseau de Club Internet, qui a été revendu à Bouygues Telecom par Neuf. Assez classique, avec le triple play à 29,90 euros, le forfait Bbox se distingue cependant par une nouveauté, jouant sur son image d'opérateur jusqu'ici 100% mobile : pour 10 euros de plus, les abonnés peuvent appeler trois heures de leur box vers les portables (les abonnés mobile de Bouygues Telecom bénéficient même de six heures pour le même prix). De son côté, Darty, deux ans après le lancement de sa Dartybox au succès modeste, la booste avec une nouvelle offre dès le 4 novembre. En tant que locataire du réseau de Numericable, la Dartybox va profiter du passage à la fibre optique du câblo-opérateur pour lancer un forfait très haut débit (jusqu'à 100 mégas) pour 37,90 euros. Point fort de l'offre : le service. Ainsi, un technicien viendra systématiquement et gratuitement à domicile pour faire les branchements, voire effectuer les travaux de câblerie et poser les prises. Par ailleurs, Auchan et peut-être Carrefour voudraient lancer leur box. Face à ce regain de concurrence, le nouvel SFR devra vite trouver ses marques post-fusion pour ne pas perdre de terrain sur un marché quasi mature.

UN MARIAGE POIDS LOURD
La fusion de SFR et Neuf donne naissance au numéro deux français des télécoms. Actionnaires
56% Vivendi et 44% Vodafone. Chiffre d'affaires 12 milliards d'euros. Clientèle mobile 19,3 millions d'abonnés, dont 5 millions de clients 3G/3G+. Clientèle Internet 3,8 millions d'abonnés. Clientèle entreprises 2 millions de lignes entreprise (dont 35 entreprises du CAC 40). SOURCE : SFR

TELE 2
Racheté par SFR en octobre 2006
L'opérateur mobile reprend ainsi les activités françaises de téléphonie fixe et d'accès Internet haut débit du groupe de télécommunications suédois du même nom, pour un montant estimé à 350 millions d'euros.

Débitel
Racheté par SFR en février 2008
Debitel est le premier MVNO - opérateur virtuel - à s'être lancé en France, en 2004. Le rachat de Debitel par SFR intervient peu de temps après l'acquisition de Ten par Orange. SFR en fait sa marque pour les forfaits low-cost.

AOL
Racheté par Neuf-Cegetel en 2006
Le FAI se retrouve ainsi troisième fournisseur d'accès à Internet (FAI) en France, derrière Orange et Free. L'accord prévoit aussi qu'AOL assurera la régie pub pour les portails Web de Neuf. Coût de l'acquisition : 290 millions d'euros.

N9EUF telecom
Racheté par SFR en 2008
Décembre 2007, SFR annonce le rachat de Neuf, fournisseur d'accès à Internet (FAI), à Louis Dreyfus, l'actionnaire de référence, qui avait racheté Cegetel, AOL France, puis Club Internet. Rachat bouclé neuf mois plus tard à 4,4 milliards d'euros.

Club internet.Rachat conclu par Neuf en mai 2007
Neuf Cegetel met la main, pour la somme de 465 millions d'euros, sur la filiale française de l'opérateur allemand Deutsche Telekom, et prend ainsi la 2e place française des FAI, derrière Orange, mais devant Free (Iliad).

Cegetel
Racheté en 2003
La Compagnie générale de télécommunication est créée en 1996 par Vivendi, maison mère de SFR. En 2003, elle devient SFR-Cegetel, mais le groupe disparaît en mai 2005 lors de la fusion entre Cegetel et Neuf, qui devient Neuf Cegetel.
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Le Bon, la Brute le Truand - S.Léone 1966
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[roballar]

Merci pour cette bonne lecture, Hammett, fort instructive en début de journée.
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Dernier FAI Free après Orange. Système d'exploitation : Windows 7.

[hammett]

C'est "marrant", parce que la tour Séquoia à La Défense, avec le gros logo SFR dessus , est vraiment pas loin à vol d'oiseau.
Je suis en plein dessus quand je regarde au dessus de mon écran.
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[roballar]

[hammett]

[mattmatt73]

[hammett]

[nnouveau]

Quelle lecture..

avec les arrivées des nouveaux opérateurs, cela risque de faire bouger SFR.. ce sera un combat de chefs.. entre orange, SFR et Bouygues..
Free va devoir batailler sec..
Si Auchan et Carrefour arrivent eux aussi.. ils ne feront pas vraiment le poids face à ces mastodontes..
Déjà que Darty peine..

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Chez CI depuis 1999..

Migré automatiquement depuis le 19 Juin 2009.

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[mattmatt73]

[Falzicarol]

Merci beaucoup pour cette lecture très intéressante.

On comprends mieux certaines choses.

Un ptit pour la remarque de mattmatt73 sur Carrefour/Auchan.